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Oiseaux

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La vidéo de mon jardin... 

     Ballet de mésanges

   

 La mésange charbonnière          La mésange bleue                       La mésange nonnette

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(Du 1er novembre 2007 à aujourd'hui 17 février 2008 elles ont dévoré 70 kgs de graines de tournesols et environ une trentaine de boules de graisse.... Quel appétit ! )


Poèmes sur les oiseaux !                   


J'écris ces poèmes sur les oiseaux en faisant de nombreuses recherches. Leur but est non seulement poétique, mais peut également servir de quizz, ou jeu. On lit le poème et l'on essaie de découvrir l'oiseau qu'il cache.

Mais pour aider ceux qui veulent retrouver un poème directement par le nom de l'oiseau représenté, sans avoir à chercher, j'ai fait un récapitulatif ici, avec le lien vers le poème correspondant.

01

Il tient son nom de peu de chose,

Et personne ne peut l'oublier.

Car sous son bec, rouge est sa gorge,

C'est là son signe particulier.

 

Il est colérique et nerveux,

Et déteste avoir des voisins.

C'est un oiseau qu'on dit hargneux,

Que des ennemis, pas de copains !

 

Il aime les combats agressifs,

Entre les mâles, c'est la haine.

C'est un paranoïaque excessif,

Même son propre reflet le déchaîne.

 

Il vit dans les taillis, les bocages,

Les parcs, les forêts et les jardins.

Il chante pour les femelles de son entourage,

Toute l'année, et plutôt le matin.

 

Sa nourriture, faite de vers,

Il la trouve, solitairement.

De son bec il creuse la terre,

Et les dévore goulûment.

 

C'est un oiseau au cri aigu,

S'il est anxieux ou en alerte.

Un passereau qui a pour vertus,

Bagarres, et violences, principales causes de sa perte.

Laurence David (mars 2007)

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02

C'est une dame vêtue de blanc,

Au masque en forme de cœur.

Au cri perçant et strident,

Au nom synonyme de peur.

 

Son vol est souple et silencieux,

Son ouïe, fine et développée.

Sa vie est nocturne dans les cieux.

Ou à la cime des clochers.

 

Comme un fantôme, elle apparaît,

Devant les phares, les lampadaires.

Mais dès le jour, elle disparaît,

Nous cachant sa vie de mystère.

 

Le légende dit : "Dames, si vous la croisez,

Un fruit en vous déjà grandissant.

Du sexe, cessez de vous tourmentez,

Un fille vous viendra en naissant !"

 

Cette Dame là, on l'a dit chouette,

C'est un oiseau de nuit, rapace.

C'est l'effraie qui parfois inquiète,

Mais dans mon cœur, elle a sa place.

Laurence David (mars 2007)

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03

Son masque noir formant deux ronds,

Lui donne l'air d'une espionne coquette.

Son ventre est couleur jaune citron,

Et sa calotte bleuie sa tête.

 

Sa petite taille la donne fragile,

Mais elle est vive pour s'envoler.

Car de ses petites ailes agiles,

Son vol est précis, et parfait.

 

Sa nourriture, parfois au sol,

Est faite d'insectes, et graminées.

Et vers les graines de tournesol,

Va sa préférence pour dîner.

 

Son cri pointu et répété,

Pourrait faire croire qu'elle hésite.

Et pourtant si vous l'écoutez,

On dirait qu'elle dit : "Tu vas vite...!"

 

C'est un oiseau petit et beau,

Que vous croisez dans les jardins.

C'est une mésange, un passereau,

C'est une espèce que j'aime bien.

Laurence David (mars 2007)

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04

Un capuchon blanc sur la tête,

Une robe brune, une queue blanche.

Des yeux jaune vif, un épais bec,

Des doigts puissants pour des serres franches.

 

Son cri, si vous l'entendez,

Est un caquètement criard et perçant.

De ses ailes grandement déployées,

Il glisse en vol dans les courants.

 

Il effraie aussi par son regard

Sa vue dépasse celle des humains.

Posté très haut, sur un perchoir,

Il guette ses proies de très loin.

 

C'est en chassant qu'il trouve sa nourriture

En plein vol, il s'abat sur ses victimes.

Il peut dérober les prises que les autres capturent

Mais c'est un pêcheur de saumons en prime.

 

L'homme est son principal ennemi,

Les pesticides ravagent son espèce

L'œuf n'ayant plus de coquille pour sa survie

Il faudrait que la pollution cesse.

 

C'est un Aigle, un rapace immense est beau

Qu'on tente partout de protéger,

Bien qu'accusé de tant de maux

Il faut se battre pour dans son milieu le réhabiliter.

Laurence David (mars 2007)

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05

Ce n'est pas un canard,

Mais il a les doigts palmés.

Il a l'arrière du cou noir,

Avec un peu de châtain mélangé.

 

Ses yeux sont de couleur doré,

Son bec long, pointu et tranchant.

Et pour clore son aspect,

Son menton et sa gorge sont blancs.

 

Il est d'une très grande taille,

Et son envergure fait plus d'un mètre.

Sa longévité n'est pas non plus une paille,

Car jusqu'à 16 ans elle peut être.

 

Il n'a pas vraiment de chant,

On le dit plutôt silencieux.

Il émet pourtant de durs coassements,

Quand en son nid, il fait le paresseux.

 

C'est un pêcheur principalement,

Sa nourriture, le poisson évidemment.

Mais il aime à chasser de temps en temps,

Grenouilles, lézards et autres serpents.

 

Les corbeaux, les crocodiles le menace,

Et les humains qui vivent près de ses lieux.

Ainsi que certaines espèces de rapaces,

Tous aiment à consommer ses œufs.

 

Il vit en bandes, en colonie,

Et aime à planer haut dans les cieux.

Pour ainsi surveiller son nid,

Des prédateurs malicieux.

 

Perché parfois sur des branches nues,

Ou quelque souche au bord de l'eau.

C'est ainsi qu'il peut être vu,

Avant de plonger à nouveau.

 

Après sa natation, sa pêche,

Étendant ses ailes blanches et argent.

C'est le moment où l'oiseau se sèche

Son butin avalé goulûment.

 

C'est un oiseau noir impressionnant,

Par la beauté de son allure.

Il est de la famille des pélicans,

Dans mes préférés je peux l'inclure.

Laurence David (mars 2007)

 

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06

Haute perchée sur de puissantes pattes,

Un long cou mobile, dénudé et clair.

Sur lequel pose ma petite tête plate,

Au bec large, à la couleur chair.

 

Pour monsieur la peau est bleue ou rose

Pour madame, elle est rosâtre,

Pour les mâles, les plumes noires s'imposent

Pour les femelles, elles sont brunâtre.

 

J'ai un superbe regard,

Grâce à mes jolis et grands yeux.

Qui sont fournis de cils noirs,

Et pourraient faire bien des envieux.

 

On me dit silencieuse et pourtant,

Mon répertoire est fait de nombreux cris,

De sifflements, grognements et mugissements

C'est par nos mâles qu'ils sont émis.

 

Mon ouïe et ma vue sont perçantes,

J'aime l'eau où je baigne volontiers,

A la course, je suis une gagnante,

Quand je m'enfuie toute effrayée.

 

Habitant les zones les plus sèches,

C'est dans la savane que je vis.

Mais de nature un peu revêche,

C'est solitairement que je me nourris.

 

Pour un mâle, parfois six femelles,

Pondant au nid communautaire.

Comparons une dame et ses demoiselles,

Celle qui couve, c'est la première.

 

Les humains ont une expression stupide

Quand ils veulent ignorer quelque chose.

Leur caricature dont mon comportement est à l'origine,

Dit en résumé : " qu'ils prennent alors ma pose".

Laurence David (mars 2007)

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07

J'ai le dos et la tête brunâtre,

Et ma poitrine de couleur chamoisée.

Sur elle et sur mes flancs blanchâtres,

On trouve des taches en forme de V.

 

Courte et brune est ma queue,

Mon bec fin est brun en principal.

On dit que j'ai aussi de grands yeux,

Et les pattes et doigts rose pâle.

 

Je vis dans les forêts, les parcs, les jardins,

Je migre, pour hiverner, vers l'ouest ou le sud.

L'on me trouve dans beaucoup de pays Européens,

Dont je m'éloigne quand l'hiver devient rude.

 

Je me nourris principalement d'escargots,

Dont je casse la coquille contre des pierres.

Mais la nourriture tombée des mangeoires, des plateaux,

Me convient, comme les insectes, les vers ou fruits trouvés par terre.

 

J'ai un vol puissant et bas,

Rapide, direct et légèrement ondulant.

Sur le sol pourtant parfois l'on me voit,

Courant sur de courtes distances en sautillant.

 

Construit dans les buissons par les femelles,

Le nid est tapissé intérieurement,

De brins d'herbes, salive et radicelles,

Et sa vue annonce le printemps.

 

Pendant ce temps le mâle chante

Sur un perchoir, à proximité.

Son chant mélodieux nous enchante,

Par des phrases claires en musicalité.

 

On m'attribut le nom de musicienne,

Je suis de la famille des turdidés.

Un dicton dit à l'ancienne :

"Que faute de moi, les merles sont mangés!"

 

Les principaux prédateurs cause de notre mortalité,

Sont les corvidés, mais aussi les renards.

Mais par les pesticides nous sommes également menacés,

Que les agriculteurs déversent dans leur champ pour la plupart.

Laurence David (mars 2007)

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